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Indiscipline !

Savoirs, nature, cultures et alternatives sociales

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culture

Lucioles” : n° 1 d’une revue pour habiter plus librement et fraternellement les espaces institutionnels et culturels communs

« Lucioles » est une revue gra­tuite, des­ti­né à rendre plus habi­tables et plus fra­ter­nels, pour celles et ceux qui y vivent au quo­ti­dien, les uni­ver­si­tés et les éta­blis­se­ments de recherche et d’enseignement supé­rieur. Elle était en ges­ta­tion depuis des années, mais les contrac­tions se sont accé­lé­rées juste après les atten­tats de jan­vier, après le

Marseille, capitale culturelle sans les sciences ? Pour un sursaut de la communauté éducative en faveur de la culture scientifique et technique abandonnée.

Cet article a été publié dans une ver­sion courte dans Mar­seille Heb­do (le 26.12.07). Son auteur, Sophie Deshayes, le publie dans sa ver­sion ori­gi­nale sur Indis­ci­pline. Nous fai­sons figu­rer un com­mu­ni­qué de presse de l’Assemblée Géné­rale de l’association natio­nale La Réunion des CCSTI, en com­plé­ment d’information. Nous n’irons plus à l’Agora des sciences sur la

L’institution muséale gardée par ses publics : confrontation de modèles au musée

Depuis dix ans, le recours au mar­ke­ting s’est for­te­ment déve­lop­pé comme un moyen de gérer les rela­tions entre les (grands) musées et leurs publics. Dans un contexte où les objec­tifs poli­tiques défi­nis à l’échelle euro­péenne sont de faire entrer dans l’espace mar­chand la pro­duc­tion de connais­sances, l’éducation et la culture, cette mon­tée du mar­ke­ting est

Dossier rétrospectif La Nuit des meutes : “Une nuit d’émeutes festives, présentation factuelle de l’événement”

Durant la nuit du 30 octobre 2004, plus d’une cen­taine d’actions reven­di­ca­tives furent menées sur l’ensemble du ter­ri­toire fran­çais. Il s’agissait d’une part de “free par­ties”, de ras­sem­ble­ments fes­tifs ins­crits dans la culture et dans les pra­tiques des acti­vistes de la tech­no. Il s’agissait aus­si d’un ensemble de dis­cus­sions, de publi­ca­tions de textes et d’images,

Dossier rétrospectif La Nuit des meutes : “Témoignage de Miss_yl, une des organisatrices, Lilloise, graphiste, membre de collectifs musicaux et artistiques”

Voir tous les articles du dos­sier Le concept de la Nuit des Meutes fai­sait écho avec les valeurs que je sou­hai­tais défendre : mixi­té artis­tique, liber­té d’expression, auto-ges­­tion… Je me suis donc impli­quée presque natu­rel­le­ment. Je me suis sur­tout pen­chée sur la com­mu­ni­ca­tion de l’événement, la créa­tion gra­phique. De toute façon, nous ne pou­vions qu’apporter

Dossier rétrospectif La Nuit des meutes : “Habiter le même monde : un exercice”

Voir tous les articles du dos­sier Je me suis retrou­vé embrin­gué dans la Nuit des meutes en ver­tu du “Pacte de col­la­bo­ra­tion mili­­ta­­ro-artis­­tique” ((voir http://oia.vnatrc.net/ ; sites res­pec­tifs : http://vnatrc.net/ http://drone-zone.org/)) conclu fin 2002 entre v.n.a.t.r.c.? & la Drö­né­sie Orien­tale. Tous les échanges entre nous, les actions menées ou fêtes vécues depuis lors portent pour

Culture et savoirs aux prises avec la (dé)raison technocratique

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Par Igor Babou et Joëlle Le Marec Que l’on soit cher­cheur, ensei­gnant, orga­ni­sa­teur d’activités cultu­relles ins­ti­tu­tion­na­li­sées ou pas, artiste, pro­fes­sion­nels de l’action sociale, de la san­té, du droit, que l’on soit parent, mili­tant asso­cia­tif, étu­diant, on res­sent par­tout la même inco­hé­rence entre une sorte de prag­ma­tisme désa­bu­sé et les valeurs au nom des­quelles on exerce ces