Archives pourAvr 2016
TRIBUNE – Où nous mènera Nuit Debout ? Certains répondent « nulle part », et le mouvement leur paraît déjà discrédité. Nuit Debout, anarchique, égalitaire, spontanée, ne recherche pas de représentant politique, ne s’organise pas; il est donc légitime de s’inquiéter de son efficacité. Nous nous rassemblons chaque jour, nous discutons debout dans le froid, nous travaillons en
Je relaie ici cet appel de l’AFS à soutenir Nicolas Jounin : https://afs.hypotheses.org/134 Nicolas Jounin, sociologue à l’université de Paris 8, participait ce jeudi matin à une manifestation pacifique au port de Gennevilliers, dans le cadre du mouvement social contre la loi Travail. Nicolas Jounin et un autre manifestant ont été arrêtés, mis en garde
Je mets cette vidéo ici, en une, car sans ça Indiscipline ne serait plus Indiscipline… Point de vue strictement personnel, mais que j’assume. Je ne commente pas plus : l’idée serait qu’ici, on puisse avoir un débat sur tout cela.
Je relaie ici cet appel qui a commencé à circuler le 16 avril 2016. Pour le soutenir et y apporter votre signature, écrire à : stopviolencespolicieres@laposte.net ou allez sur http://stoprepression.unblog.fr/ Je viens de le signer. Depuis novembre dernier et la proclamation de l’état d’urgence, l’État de la régression sociale et de la matraque a brutalement accéléré
De 18h à minuit depuis hier soir : http://mixlr.com/radiodebout/ Faites passer !
Escribe Joan Guimaray* Nunca como ahora, la democracia se había visto tan amenazada por el sector autoritario, deshonesto y criminal del país. Jamás como hoy y a plena luz de la razón, se había visto tan expuesta al peligro de caer en el latente abismo del camuflado despotismo. En las últimas elecciones, el Perú no
Escribe Joan Guimaray* El país está peligro. En peligro está el país. El retorno del leviatán amenaza de nuevo al Perú. El regreso de épocas sombrías nos atemoriza otra vez a los peruanos decentes. La coyuntura electoral nos inquieta nuevamente. En tres períodos de gobierno no pudimos sacudirnos de la infame malatía. En tres lustros