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Indiscipline !

Savoirs, nature, cultures et alternatives sociales

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Egypte

Tunisie, Egypte … espoir démocratique pour le monde arabe

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Voi­ci une cap­ta­tion vidéo de confé­rences de Che­rif Fer­ja­ni (Pro­fes­seur de civi­li­sa­tion arabe à Lyon 2) et Clé­ment Steuer (Doc­teur en science poli­tique, spé­cia­liste de l’E­gypte) sur les révo­lu­tions en Tuni­sie et en Égypte. Cela remet en place de nom­breuses idées fausses ou de sens com­mun sur les révo­lu­tions en cours, et en par­ti­cu­lier sur

Egypte: Bain de sang. Appel pour annoncer ce soir le gel des comptes bancaires de ce régime.

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

http://crisdegypte.blogs.liberation.fr/cairote/2011/02/egyp.html Le Caire, 3 février 2011. L’es­ca­lade de la bar­ba­rie dépasse l’en­ten­de­ment et atteint des degrés innom­mables. Des jour­na­listes sont bat­tus, des avo­cats, des acti­vistes et des mani­fes­tants sont arrê­tés et tués. Les hommes de main de Mou­ba­rak tiennent tous les accès à la place Tah­rir ain­si que les ponts de la ville. Ils terrorisent,