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Indiscipline !

Savoirs, nature, cultures et alternatives sociales

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Lectures

Contre la discrimination par le langage, la sociolinguistique.

Les édi­tions Tex­tuel ont publié récem­ment : « Dis­cri­mi­na­tions : contre la glot­to­pho­bie » de Phi­lippe Blan­chet. Ce petit ouvrage est une inter­ven­tion de socio­lin­guiste dans l’espace public. La socio­lin­guis­tique n’est pas une dis­ci­pline très média­ti­sée, même si cer­tains auteurs, ou cer­taines auteures, Mari­na Yaguel­lo par exemple, ont su ques­tion­ner dans des petits bou­quins bien ciblés les para­doxes de

Sciences sociales, sciences critiques : “La connaissance libère”

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Voi­ci une publi­ca­tion, que je n’ai pas encore pu lire, mais dont la simple exis­tence et le titre doivent nous aler­ter sur le désastre en cours à l’u­ni­ver­si­té en ce qui concerne les sciences sociales (et au delà, les sciences humaines, lit­té­raires, et les langues). L’as­so­cia­tion Champ Libre (http://www.champlibre.org/), à l’o­ri­gine de cette publi­ca­tion, a

John Dewey : La démocratie créative – la tâche qui nous attend

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Ori­gi­nel­le­ment publié dans John Dewey and the Pro­mise of Ame­ri­ca, Pro­gres­sive Edu­ca­tion Book­let n°14, Colom­bus, Ame­ri­can Edu­ca­tion Press, 1939, ce texte a été pré­sen­té par le tra­duc­teur, Samuel Renier (samuel.renier@univ-lyon2.fr), lors d’un ate­lier orga­ni­sé dans le cadre de la grève de l’ENS LSH, le mer­cre­di 4 février 2009 Télé­char­ger le texte anglais (pdf) Dans les

Umberto Eco est-il un fainéant ?

Dans la tra­duc­tion de 1998, Umber­to Eco dans “Com­ment voya­ger avec un sau­mon — nou­veaux pas­tiches et pos­tiches”, expri­mait le déca­lage entre la per­cep­tion du carac­tère natu­rel des limites de dis­po­ni­bi­li­té de n’im­porte quel pro­fes­sion­nel consi­dé­ré comme sérieux, et l’i­dée que l’a­gen­da de l’u­ni­ver­si­taire peut accueillir sans cesse de nou­velles tâches, puis­qu’il est fai­néant par

Le cauchemar de Humboldt. Les réformes de l’enseignement supérieur européen

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Pour en savoir plus sur les réformes et leurs sou­bas­se­ments idéo­lo­giques, un livre récem­ment paru pour­rait s’avérer un bon com­pen­dium : http://www.liens-socio.org/article.php3 ?id_article=4226 Je copie-colle la cri­tique qui en a été faite sur “Liens socio” : “Le cau­che­mar de Hum­boldt. Les réformes de l’enseignement supé­rieur euro­péen Un ouvrage sous la direc­tion de Franz Schul­theis, Mar­ta Roca i

Rapport de l’OCDE sur l’éducation

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

L’OCDE pro­duit régu­liè­re­ment des rap­ports com­pa­ra­tifs sur le thème de l’éduction. Le der­nier en date, publié le 18 sep­tembre 2007, contient des don­nées (essen­tiel­le­ment quan­ti­ta­tives) qui com­plètent le rap­port de 2005. Le rap­port est à cette adresse : cli­quer ici. Cer­taines don­nées battent en brèche des pré­ju­gés cou­rants du dis­cours libé­ral et tech­no­cra­tique sur la place

Romanesque et le Passager Clandestin

Com­ment aujourd’hui peuvent naître et se déve­lop­per des alliances entre des acteurs qui cherchent à défendre des formes d’action et de créa­tion indé­pen­dantes dans des milieux a prio­ri très dif­fé­rents (créa­tion lit­té­raire, milieu édi­to­rial, recherche, édu­ca­tion popu­laire) ? Com­ment repé­rer et faire vivre ces alliances dans le contexte asphyxiant d’une injonc­tion per­ma­nente à com­mu­ni­quer, pro­mou­voir, rendre

Note de lecture à propos d’une introduction à l’oeuvre de Mauss

Camille TAROT, Socio­lo­gie et anthro­po­lo­gie de Mar­cel Mauss. Paris, Éd. La Décou­verte, coll. Repères, 2003, 123 p. Le thème du don, asso­cié au nom de Mauss, connaît le même mal­heu­reux des­tin que le thème de l’espace public asso­cié au nom d’Habermas : une pen­sée lar­ge­ment mécon­nue, réduite à un cli­ché qui annule le besoin d’aller voir