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Indiscipline !

Savoirs, nature, cultures et alternatives sociales

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désobéissance

Le métier de chercheur. Slow science et critique du progrès avec Isabelle Stengers et Pierre Calame

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Voi­ci un extrait d’une confé­rence d’I­sa­belle Sten­gers, phi­lo­sophe des sciences et de Pierre Calame, ancien haut fonc­tion­naire. Cette confé­rence en duo pose, dans un lan­gage simple, la ques­tion de la res­pon­sa­bi­li­té des sciences dans un contexte où le “pro­grès” induit par le déve­lop­pe­ment tech­no­lo­gique n’est plus sou­te­nable. Il me semble qu’on peut à peu près

Entrer en résistance : désobéir pour que survive une conception éclairée de la recherche et de l’enseignement supérieur

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Qu’est-ce que les Lumières ? La sor­tie de l’homme de sa mino­ri­té dont il est lui-même res­pon­sable. Mino­ri­té, c’est-à-dire inca­pa­ci­té de se ser­vir de son enten­de­ment sans la direc­tion d’autrui, mino­ri­té dont il est lui-même res­pon­sable puisque la cause en réside non dans un défaut de l’entendement mais dans un manque de déci­sion et de