Aller à…

Indiscipline !

Savoirs, nature, cultures et alternatives sociales

Flux RSS

dictature

Tribune : Pour la libération de Tuna Altinel, chercheur lyonnais emprisonné en Turquie

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

Une tri­bune à laquelle je me suis asso­cié, car toute action en vue de faire libé­rer le mathé­ma­ti­cien Tuna Alit­nel mérite d’être ten­tée (mais aus­si tous les pri­son­niers poli­tiques en Tur­quie, dont Füsun Üstel, une autre uni­ver­si­taire empri­son­née, comme Tuna Alti­nel, pour ses idées paci­fistes et démo­cra­tiques). “Une asso­cia­tion d’u­ni­ver­si­taires appelle le gou­ver­ne­ment fran­çais à

PARODIE DE JUSTICE POUR LES UNIVERSITAIRES À ISTANBUL

Administrateur chez Indiscipline.fr
Administrateur d'Indiscipline.fr, l'Admin a un rôle avant tout technique. Il dispose également d'un blog où sont postés des textes qui nous sont parvenus, ou que nous reprenons, et qui sont écrits par des personnes ou des groupes qui ne disposent pas d'un blog sur Indiscipline. Enfin, c'est lui qui est la voix de l'équipe des modérateurs du site dans leurs relations avec les auteurs.
Administrateur

Nous relayons ici ce texte d’un socio­logue qui est allé à Istam­bul suivre les pro­cès inten­tés aux uni­ver­si­taires par le régime d’Erdogan : J’étais ce jeu­di 7 décembre au palais de jus­tice d’Istanbul, à la chambre 33, une cours cri­mi­nelle spé­cia­li­sée de fait, comme plu­sieurs autres qui siègent aus­si ce jour-là, la 32, la 34, dans

Soutenir les universitaires et enseignants turcs

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

On le sait, il vient d’y avoir une ten­ta­tive de coup d’État en Tur­quie. Ce qu’on sait éga­le­ment, c’est que cette ten­ta­tive est lar­ge­ment ins­tru­men­ta­li­sée par le pou­voir turc dans le cadre de l’ins­tau­ra­tion d’un pou­voir auto­cra­tique, bru­tal, et se moquant des droits de l’Homme. Et ce qu’on sait éga­le­ment, enfin, c’est que des journalistes,

Egypte: Bain de sang. Appel pour annoncer ce soir le gel des comptes bancaires de ce régime.

Je suis professeur des universités en Sciences de l'information et de la communication.

Je travaille sur les relations entre nature, savoirs et sociétés, sur la patrimonialisation de l'environnement, sur les discours à propos de sciences, ainsi que sur la communication dans les institutions du savoir et de la culture. Au plan théorique, je me situe à l'articulation du champ de l'ethnologie et de la sémiotique des discours.

Sinon, dans la "vraie vie", je fais aussi plein d'autres choses tout à fait contre productives et pas scientifiques du tout... mais ça, c'est pour la vraie vie !
Igor Babou

http://crisdegypte.blogs.liberation.fr/cairote/2011/02/egyp.html Le Caire, 3 février 2011. L’es­ca­lade de la bar­ba­rie dépasse l’en­ten­de­ment et atteint des degrés innom­mables. Des jour­na­listes sont bat­tus, des avo­cats, des acti­vistes et des mani­fes­tants sont arrê­tés et tués. Les hommes de main de Mou­ba­rak tiennent tous les accès à la place Tah­rir ain­si que les ponts de la ville. Ils terrorisent,