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Pour une Internationale de la Jeunesse et de l’Enseignement
30 octobre 2019 Initiatives
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Suite à une courte dis­cus­sion avec J. Le Marec : je pose ça là très rapidement.

(…)

L’i­dée est de ne plus asso­cier UNIQUEMENT les ensei­gnants du supé­rieurs entre eux, les ensei­gnants du secon­daire entre eux, les lycéens d’un côté, les étu­diants de l’autre par exemple…

Les profs du pri­maire et du secon­daire devraient être défi­ni­ti­ve­ment asso­ciés à ceux du supé­rieur dans leurs luttes pour des enjeux tou­jours communs. 

Nos minis­tères dis­tincts ne sont d’ailleurs plus légi­times (…)

Ne serait-ce pas de construire un vrai contre pou­voir que de nous rassembler ? 

Liai­sons inter-cycle, ensei­gne­ment cur­ri­cu­laire, spi­ra­laire, .… bref, les minces pro­po­si­tions plu­tôt posi­tives des réformes en cours légi­ti­ment ces rassemblements.

C’est pour­quoi je suis pour une inter­na­tio­nale de la jeu­nesse et de l’en­sei­gne­ment. Debout les dam­nés… 

Je pro­pose donc sim­ple­ment de réflé­chir à ce que cela signi­fie­rait, dans nos com­mu­ni­ca­tions et la manière dont nous devons désor­mais pas­ser outre toutes les cor­po­ra­tions, quelle qu’elles soient.

Et d’i­ma­gi­ner une pla­te­forme com­mune ? Ici ?

Modes­te­ment, un matin de départ vers un lieu décon­nec­té pour 6 jours, sans télé­phone ni inter­net ni … Juste une antenne radio et son tran­sis­tor. Alors si j’en­tends par­ler de ça sur France Info cette semaine !

Je vous embrasse tous, mais sur­tout I B et J LM !

 

p.H.

 

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"3" Comments
  1. Non, JLM n’est pas Jean Luc Mélenchon.

    • En effet il n’y a pas que Jean Luc Mélen­chon qui peut se pré­va­loir d’être appe­lé JLM. Sinon : c’est juste, il y a une étrange série de murs entre dif­fé­rents “sec­teurs” qui s’oc­cupent des enfants et des jeunes, ran­gés par classe d’âge et par type d’é­ta­blis­se­ments s’oc­cu­pant d’eux, école, col­lègue, lycée, ensei­gne­ment pro­fes­sion­nel ensei­gne­ment uni­ver­si­taire, etc.  J’ai très rare­ment assis­té à des évè­ne­ments qui réunis­saient des ensei­gnants, ou des ensei­gnants et des élèves, ou des élèves et des étu­diants. Je me rap­pelle d’un col­loque “ensei­gner après les atten­tats” avec des ensei­gnants du secon­daire et de l’u­ni­ver­si­té et des lycéens et c’é­tait très mar­quant. J’ai orga­ni­sé des ren­contres entre mes étu­diants et des lycéens sans autre objec­tif que de se rap­pro­cher. Mais c’est ponc­tuel. Ce que tu pro­poses serait de chan­ger nos propres caté­go­ries, de sys­té­ma­ti­que­ment pen­ser sec­teur édu­ca­tif et  jeu­nesse, pour évi­ter de recréer nous-mêmes des com­par­ti­ments, un peu comme de pra­ti­quer l’é­cri­ture inclusive!

  2. Tout a fait. Et d’al­ler direc­te­ment à l’es­sen­tiel : ce que nous allons dire, ce que nous allons faire, ensemble, désormais.

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