Archives pour3 Fév 2009
Si les débats autour de l’université et de la recherche sont si passionnés, c’est qu’ils ne se résument en aucun cas à des revendications corporatistes. En arrière plan des “réformes” en cours, il y a des visions du monde et des choix de société. Si je suis attaché à mon métier d’universitaire, c’est parce qu’il
Sur le site Indépendance des chercheurs, on lit : Sans doute, il serait utile d’ajouter à ce débat une réflexion sur le rôle des intérêts privés dans la définition de politiques que l’on cherche à justifier par un « intérêt général » supposé. Voir nos articles du 28 novembre et du 29 novembre. Par exemple, les intérêts
Séminaires hors les murs en février 2009 L’université n’est pas simplement un établissement professionnellement géré, elle existe partout où ses valeurs et ses activités sont discutées et partagées Le laboratoire “Communication, Culture et Société” ainsi que les masters en Sciences de la communication de l’Ecole Normale Supérieure Lettres et Sciences humaines de Lyon s’associent à
S’appuyant sur les mensonges propagés par les tutelles gouvernementales, une vague de critique de la sinécure universitaire enfle de blogs en forums : les universitaires et les chercheurs — quel scandale Mme Michu ! – ne seraient pas évalués ! On nous cache des choses, et que fait-on de nos impôts, je vous l’demande ?
Un même mouvement de réformes réactionnaires frappe l’ensemble des champs du savoir, de leur production à leur transmission, de l’Ecole à l’université. Ces réformes s’installent avec autoritarisme et convergent dans la direction d’une bureaucratisation des métiers du savoir, et de leur assujettissement aux pouvoirs économiques et politiques. Ce mouvement régressif, du point de vue des